Découverte de deux nouveaux implexes

On nomme "implexe" un ancêtre qui est notre aïeul par plusieurs lignées ascendantes parallèles : cette personne est donc plusieurs fois notre ancêtre.

D'une façon générale, les implexes sont nombreux mais on ne cerne pas toujours facilement leur statut, et il faut croiser plusieurs branches éloignées pour découvrir, souvent par hasard et grâce à l'homonymie, la présence d'un même chaînon, commun à deux branches ascendantes.

Lorsque l'on consulte un arbre généalogique, on constate que le nombre d'ancêtres augmente très rapidement en remontant le temps alors que, au contraire, la population totale du pays diminue... La résolution de cette énigme apparente tient à la présence de très nombreux implexes.

Les implexes sont sources de consanguinité, qui reste négligeable quand les ancêtres communs à deux personnes qui se marient restent éloignés dans le temps. 

Par contre, le taux de consanguinité augmente avec la proximité générationnelle. Pour autant, le droit civil n'interdit pas les unions entre cousins germains même si, sur un plan génétique, elles ne sont pas recommandées : la famille de la reine Victoria nous l'a montré, et l'on doit à sa consanguinité l'hémophilie du tsarévitch.

Toutes les familles du Monde sont naturellement concernées par des implexes, d'autant plus nombreux que la mobilité familiale est réduite.

On connaissait déjà deux "implexes" familiaux, qui touchaient les familles RENAULT et JEAN (voir).

On connaît désormais deux nouveaux implexes, repérés aujourd'hui par le croisement attentif de la base de données généalogique et de nouvelles recherches de naissances et de décès afin de démontrer qu'il n'y a pas de simples homonymies, toujours possibles.

Les nouveaux implexes concernent les descendances respectives de Guillaume LANGLOIS et de Pierre RICART.

Ils feront prochainement l'objet d'une description précise sur le site.